La crise !!
Un soir juste après être revenu à Isiro, un mal de ventre terrible commence à me tenailler. J'hésite à prendre un médoc, mais je me dis qu'une bonne nuit de sommeille me fera du bien. Seulement à peine au lit, que je commence à avoir chaud, mais froid en même temps, je remets un T-shirt, chose qui ne m'arrive que rarement normalement. On ajoute à cela des petites diarrhées au court de la nuit...
Et la nuit se transforme doucement mais surement en cauchemar, impossible de dormir, je me retourne dans tous les sens... c'est la fièvre... Je n'ai pas réveillé Anne car elle avait clairement besoin de dormir aussi...
A son réveil, je lui raconte ma nuit, elle me frôle à peine : "mais t'es brulant !!"
le thermomètre est aussi de son avis, il me diagnostique 39,5°..., avec la diarrhée, comme me l'a si bien dit Anne, ça ressemble bien à la malaria...
C'est là que les choses sérieuses commencent, car avec une fièvre comme ça, je peux à peine me lever de mon lit, je suis extrêmement faible et je n'ai aucun appétit.
Même une tartine de bon miel venu de France préparée avec amour par Anne, je suis obligé de me forcer pour l'avaler en entier.
On demande l'avis d'un médecin par l'intermédiaire d'Elisabeth, et il confirme c'est bien la malaria, donc j'ai pris le traitement qu'on avait préparé.
Mais les repas de midi et du soir je n'y ai pratiquement pas touché. Au bout de trois bouchées, je suis dégouté. Pourtant moi je considère que le meilleur moyen de guérir c'est déjà de bien manger, mais là...
Heureusement ce n'était qu'une petite crise et déjà le soir, je me mets à transpirer de façon un peu exagéré, mais au moins la fièvre tombe...
et dès le lendemain je suis de nouveau sur pied!
Et la nuit se transforme doucement mais surement en cauchemar, impossible de dormir, je me retourne dans tous les sens... c'est la fièvre... Je n'ai pas réveillé Anne car elle avait clairement besoin de dormir aussi...
A son réveil, je lui raconte ma nuit, elle me frôle à peine : "mais t'es brulant !!"
le thermomètre est aussi de son avis, il me diagnostique 39,5°..., avec la diarrhée, comme me l'a si bien dit Anne, ça ressemble bien à la malaria...
C'est là que les choses sérieuses commencent, car avec une fièvre comme ça, je peux à peine me lever de mon lit, je suis extrêmement faible et je n'ai aucun appétit.
Même une tartine de bon miel venu de France préparée avec amour par Anne, je suis obligé de me forcer pour l'avaler en entier.
On demande l'avis d'un médecin par l'intermédiaire d'Elisabeth, et il confirme c'est bien la malaria, donc j'ai pris le traitement qu'on avait préparé.
Mais les repas de midi et du soir je n'y ai pratiquement pas touché. Au bout de trois bouchées, je suis dégouté. Pourtant moi je considère que le meilleur moyen de guérir c'est déjà de bien manger, mais là...
Heureusement ce n'était qu'une petite crise et déjà le soir, je me mets à transpirer de façon un peu exagéré, mais au moins la fièvre tombe...
et dès le lendemain je suis de nouveau sur pied!
Aïe, Aïe ... dur retour à la réalité africaine ...
Bon courage !